lundi 4 mai 2020

Jour 46


La fenêtre du jour :


Michel Onfray répond à un interview dans le journal Le Soir. On lui demande : Il y a 50 ans, la grippe de Hong Kong a fait un million de morts dans le monde. Sommes-nous plus impressionnables aujourd'hui?
Il répond : "...plus connectés et plus informés surtout. Ce qui n'est pas montré sur un écran n'existe pas. Car désormais, le réel doit être validé par le virtuel"

Je vous laisse donc un peu de poésie. Quelque chose de vrai, puisque sorti de mon imagination. Et la preuve de sa réalité, c'est qu'elle est sur votre écran.

A demain pour le 47, quatrième avant la fin. Merci.


Timotéo









À chaque jour suffit son poème. 
Dans le contexte du confinement obligatoire actuel, je vous propose d’imprimer cette image et de l’afficher à votre fenêtre ou sur un mur de votre choix, visible par vous autant que par les voisins, les passants, les absents. Il changera tous les jours.  Les clefs qui ouvriront toutes les portes s’appellent crayons, gommes et papier blanc.
Prenez des photos,  et envoyez-les moi  stephanetimoteo@gmail.com
« La poésie est inutile, un peu comme la pluie » disait René-Guy Cadoux. On va voir ça.
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SI VOUS PRENEZ le train en marche : la collection complète des poèmes confits se trouve sur mon profil Facebook (Timotéo Sergoï). 

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