Un clodo entre derrière moi dans la librairie où j'achète mon journal.
Il ouvre le frigo et se prend une grande cannette de bière blonde.
"L"alcool, dit-il : à défaut de pouvoir s'en mettre sur les mains, on s'en enduit la gorge! Hein?"
Oui, monsieur. Puis je sors et me retrouve en pays Touareg. Tous masqués pour ne pas respirer le sirocco.
C'est le prix de nos vies.
A demain,
Timotéo
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À
chaque jour suffit son poème.
Dans
le contexte du confinement obligatoire actuel, je vous propose
d’imprimer cette image et de l’afficher à votre fenêtre ou sur
un mur de votre choix, visible par vous autant que par les voisins,
les passants, les absents. Il changera tous les jours. Les
clefs qui ouvriront toutes les portes s’appellent crayons, gommes
et papier blanc.
Prenez
des photos, et envoyez-les moi stephanetimoteo@gmail.com
« La
poésie est inutile, un peu comme la pluie » disait René-Guy
Cadoux. On va voir ça.
SI
VOUS PRENEZ le train en marche : la collection complète
des poèmes confits se trouve sur mon profil Facebook (Timotéo
Sergoï).
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