mercredi 6 mai 2020

jour 48

La fenêtre du jour :      

Un crayon pour surprendre dans l’encre de la nuit.
Nos yeux, nos dents, nos ventres et un doigt vers la lune
Nos pieds, nos vers et nos chantages
Tous nos émerveillements.
Pas une arme de plus.


A demain pour le 49, avant-dernier

Timotéo

(Dernières occasions pour prendre en photo votre affichage. Une publication sous forme de livre est sans doute possible avec toutes les photos. J'en ai déjà beaucoup, mais la vôtre me manque. Merci.)




À chaque jour suffit son poème. 
Dans le contexte du confinement obligatoire actuel, je vous propose d’imprimer cette image et de l’afficher à votre fenêtre ou sur un mur de votre choix, visible par vous autant que par les voisins, les passants, les absents. Il changera tous les jours.  Les clefs qui ouvriront toutes les portes s’appellent crayons, gommes et papier blanc.
Prenez des photos,  et envoyez-les moi  stephanetimoteo@gmail.com
« La poésie est inutile, un peu comme la pluie » disait René-Guy Cadoux. On va voir ça.
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SI VOUS PRENEZ le train en marche : la collection complète des poèmes confits se trouve sur mon profil Facebook (Timotéo Sergoï). 

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